Poèmes d'amour triste
Sous les draps froids du lit, dans ta lingerie noireJe laisse traîner ma main tremblante de vous voir
Parcourant le tissu, remontant sur un sein
Que doucement j’effleure pour faire cambrer tes reins
Un frisson sur ta peau et le désir t'invite
Sous mes lèvres chaudes voici qu'elle réclame une suite
J’atteins ta bouche ouverte, l’envie augmente encore
S’enlacent vers l’infini des affres de nos corps
Ma fièvre est dans ton sang et sur tes dunes tendues
Je viens semer le vent juqu’à tes cuisses nues
A mes doigts intrépides, je te regarde fermer
Tes paupières pleines de vices qui papillonnent d’emblée
Je t’embrasse longuement et mon sexe sous ta main
Dans un soupir haletant je glisse sur ton chemin
Dans la faille mon amour d’un mouvement cadencé
Je cherche au plus profond ton bonheur effacé
Et puis soudain survient dans ta voix un écho
Un cri de joie divin, une jouissance à fleur de peau
Une vibration du cœur qui fait rougir tes joues
Un oui puis un encore qui me fait devenir fou
Tes jambes enroulées sur le haut de mes reins
Je m’essouffle mais poursuit Jusqu'à rassasier ma faim
De cette chaleur ou d’une explosion je répands
En toi tout ce plaisir, soudain nous sommes absents...
Au cœur de la tempête, nos âmes s'en sont allées
En chacun, il nous reste une douceur assiégée
Par tous ces confus gestes dans nos têtes étonnées
De s’être déchaînes et puis d’avoir aimé…
Poèmes d'amour triste fait mal
J'ai jamais compris pourquoi je t'aimais toi et pas un autre. On me répète assez souvent que je mérite mieux. Même toi d'ailleurs. A vrai dire je me demande toujours pourquoi je reste. Mais je viens de trouver ma réponse.Quel que soit tes erreurs tu es celui qui arrive à me faire sourire quand je pleure. Celui qui me redonne goût à cette vie qui n'est que néant sans toi.
Comment j'ai pu vivre sans toi? Je ne vivais pas en réalité je survivais dans ce monde ou je n'ai jamais trouvé ma place.
Alors te perdre je ne peux même pas l'imaginer. Tu es le soleil dans mon obscurité. Sans toi je me laissais couler et tous mes rêves n'avais plus aucun sens.
Tu as été la lueur qui m'a fait espéré et la bouffée d'air qui m'a empêché de me noyer et qui m'a donné envie de rester. Tu resteras mon oxymore vivant à jamais.
poème pourquoi je t'aimais toi et pas un autre image
Je hais ma faiblesse, quand on a besoin de mon aide et que j y arrive pas . Je hais ma force, quand je blesse ceux que j'aime sans le faire exprès. Je hais mes larmes, quand elles coulent pour une personne qui ne les a jamais méritées!
- Tu l'aimes?
- Je sais pas?
- Bien sûr que si... Tu sais..
- Tu veux vraiment savoir et bien oui elle me plais... Mais c'est pas pareil qu'avec toi.
- Tu m'aimes toujours?
- Bien sûr que oui je t'aime
- Tu vas me quitter?
- Non je peux pas... Mais je compte pas rester non plus...
- Pourquoi dis pas ça j'ai besoin de toi.
- Je peux partir demain comme jamais tu sais.
- J'ai besoin de toi...
- Moi aussi mais je ne veux pas te perdre.
- Ce serait plutôt à moi de dire ça non?
- Je veux pas te perdre à cause de mes conneries... je t'aime mais je peux pas.... salut..
Triste Poèmes d'amour qui fait pleurer
Cela fait plusieurs heures,Qu'ont commencé les Pleurs,
Après que tu m'ait arraché le cœur,
Depuis je vis dans la perpétuelle peur,
De ne pas pouvoir trouver
un garçon meilleur.
Je vais maintenant au pays du Couchant
Combattre tous les amours mourants
Auprès d'un feu, avec mes larmes coulant
J'assécherai mon âme au fil du temps
*
Toi l'homme que je t'aime, qui fut amour et tourment
Mon coeur est remué et se fait indigent
Tu n'as pas compris: tu es un homme blanc
Tu n'as pas su ... tu es parti maintenant ...
Je suis partie, aussi loin que j'ai pu, je me suis assise, loin de tout, j'ai vider toute les larmes de mon corps et aussi mon paquet de Marlboro light.J'ai repenser à toute tes putains de promesses à la con, à tout nos délires bidon, j'ai pleuré encore une fois, une dernière fois, et puis je me suis relevée, et tu vois je l'ai retrouver, mon sourire, petit con.
Fait pleurer une femme par poème d'amour
Avez-vous vu mon âme fuirLe long des rues au firmament
A la recherche de nos plaisirs
Et de notre bonheur tout ce temps
Elle cherche en vain votre douceur
Et puis vos yeux qui papillonnent
Lorsque ma main glisse sur votre cœur
Se défile quand votre corps s'étonne
Vous acclamant tard dans la nuit
Ou dans un rêve où je survis
Je vois vos lèvres qui me sourient
Et des je t'aime que l'on se dit
Et dans la nuit je vois en vains
Sur l'horizon de notre amour
Les étoiles filantes et nos mains
Qui se retiennent tour à tour..
Commentaires
Enregistrer un commentaire